Tout commence un beau jour du 8 mai, lorsque le narrateur contemple un trois-mâts brésilien voguant sur la Seine.
Les jours suivants, il se sent fébrile, nerveux, fiévreux, ses nuits sont agitées, angoissées, ses réveils se font en sursaut. Et il y a ce malaise, cette sensation étrange, ce sentiment d'être observé...
[...] "C'est lui, lui, le Horla, qui me hante, qui me fait penser ces folies ! Il est en moi, il devient mon âme; je le tuerai!"
En savoir plus : http://www.theatreponttournant.com/
Du jeudi 12 au dimanche 15 mars 2015,
Théâtre du Pont Tournant, Bordeaux.
Écoutez Stéphane Alvarez.
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Interview réalisée par Frédéric DUSSARRAT